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Commentaires

  1. Partenariats avec des ONG
    Pour la mise en œuvre de son mandat, la DDC s’appuie sur le savoir, l’expérience, les compétences et les réseaux d’organisations non-gouvernementales compétentes et performantes. En Suisse, la DDC entretient des partenariats avec les ONG qui ont démontré un savoir-faire et des compétences substantielles, qui disposent d’une base financière propre et sont ancrées dans la société suisse. Ces partenariats contribuent au développement qualitatif de la coopération internationale en utilisant des complémentarités pour atteindre les objectifs stratégiques et en renforçant la sensibilisation du public aux questions humanitaires et de développement.
    La DDC s’appuie sur les compétences, les expériences et les réseaux d’ONG tant au niveau de la politique de développement, que pour les questions techniques et opérationnelles. Elle travaille, selon le contexte, avec des ONG locales, internationales ou suisses. Les compétences et les performances des ONG constituent la base des partenariats. Ceux-ci sous-tendent l’encouragement du rôle actif de la société civile et la participation démocratique de la population dans les processus de développement.
    Le Message concernant la coopération internationale réaffirme la signification de la promotion de la contribution de la société civile à la réduction de la pauvreté, à la justice sociale, au renforcement des processus démocratiques et à la préservation des biens publics globaux.

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  2. Partenariats institutionnels avec les ONG suisses
    La DDC entretient des relations de partenariats institutionnels avec des ONG suisses qui ont démontré un savoir-faire et des compétences substantielles, qui disposent d’une base financière propre et sont ancrées dans la société suisse. Les ONG exécutent leur programme de manière autonome en accord avec leurs propres orientations stratégiques et leurs compétences et en ligne avec les objectifs stratégiques de la coopération internationale Suisse.
    Les partenariats tirent avantage et favorisent les forces et compétences multiples ainsi que le savoir important et les larges expériences des ONG suisses pour la mise en œuvre des objectifs stratégiques de la coopération internationale de la Suisse. Les complémentarités promues et les potentiels utilisés vont au-delà des priorités géographiques et thématiques de la DDC.
    Ces partenariats renforcent le développement qualitatif de la coopération suisse au développement et de l'aide humanitaire.
    Les ONG suisses apportent, à travers leur expérience opérationnelle, une contribution au débat sur la politique de développement au niveau national et international et renforcent la prise de conscience et une meilleure connaissance des thèmes humanitaires et de développement en Suisse.
    Contributions de programme comme un investissement
    Les partenariats sont basés sur une analyse institutionnelle des ONG et les négociations portent sur la pertinence de leur programme. La collaboration et la mise en œuvre des programmes sont discutés de façon continue entre la DDC et les ONG.
    Les programmes des ONG comprennent des activités d’aide humanitaire, de développement et de la coopération avec l'Europe de l'Est. Les contributions de programme octroyées dans le cadre de ces partenariats sont comprises par la DDC comme un investissement dans les compétences des ONG et dans la pertinence de leur programme.
    La DDC entretient des partenariats institutionnels avec les ONG suisses suivantes:

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  3. Contributions de programme comme un investissement
    Les partenariats sont basés sur une analyse institutionnelle des ONG et les négociations portent sur la pertinence de leur programme. La collaboration et la mise en œuvre des programmes sont discutés de façon continue entre la DDC et les ONG.
    Les programmes des ONG comprennent des activités d’aide humanitaire, de développement et de la coopération avec l'Europe de l'Est. Les contributions de programme octroyées dans le cadre de ces partenariats sont comprises par la DDC comme un investissement dans les compétences des ONG et dans la pertinence de leur programme.
    La DDC entretient des partenariats institutionnels avec les ONG suisses suivantes:

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  4. Partenariats avec des gouvernements étrangers
    L’objectif de la coopération internationale de la Suisse est de soutenir les pays partenaires dans leur propre développement. La coopération étroite avec le gouvernement et l’administration nationale et locale est cruciale.
    La Suisse promeut le respect des droits de l’homme et la bonne gouvernance dans ses projets et programmes comme dans le dialogue politique qu’elle entretient avec les gouvernements des pays étrangers. Pour cela, elle favorise le renforcement de la responsabilité propre des autorités et de la société civile dans les pays partenaires.
    La bonne gouvernance désigne notamment la qualité du gouvernement et de l’administration publique ainsi que le respect de leur obligation de rendre des comptes. Elle nécessite l’indépendance de l’appareil judiciaire vis-à-vis de l’Etat. Elle exige enfin un Etat de droit, un dispositif démocratique ainsi qu’un cadre réglementaire équitable offert aux entreprises privées et publiques. La transparence ainsi que la poursuite pénale de la corruption revêtent à cet égard une importance centrale.

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  5. Améliorer les conditions de vie grâce au dialogue avec le gouvernement
    L’objectif de la coopération internationale suisse est d’améliorer les conditions de vie des personnes en situation de détresse et pauvreté. Dans de nombreux cas, la Suisse agit parce que les conditions étatiques sont précaires, les droits de l’homme bafoués, et les conditions pour un Etat de droit et la démocratie inexistantes. Selon la situation, elle entame un dialogue politique avec le gouvernement concerné dans le but de réaliser des réformes ou d’améliorer les conditions économiques et sociales.
    Mais la Suisse est un pays neutre, et l’objectif de la coopération internationale ne consiste pas à soutenir des gouvernements étrangers. Avant de poursuivre un partenariat, les circonstances particulières des différents pays sont minutieusement étudiées. En fonction du contexte et selon la pertinence pour réduire la pauvreté et promouvoir le développement durable, la Suisse peut choisir de collaborer avec des institutions étatiques, des acteurs du secteur privé ou des organismes de la société civile.

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  6. Le changement climatique, les crises alimentaires, les problèmes d’approvisionnement en eau et les problématiques migratoires affectent de plus en plus les perspectives de développement des pays pauvres. C’est pourquoi la DDC se mobilise à l’aide de programmes thématiques globaux et s’engage dans le dialogue politique international. Elle vise à apporter des solutions aux problèmes planétaires et à contribuer à ce que la mondialisation favorise le développement.
    Les défis mondiaux font fi des frontières. Aujourd’hui, les formes traditionnelles de la coopération internationale ne suffisent plus à gérer les biens publics mondiaux qui n’appartiennent à personne mais sont libres d’accès à tous, comme l’air et l’eau, par exemple. Des solutions définies par la communauté internationale sont désormais requises.
    Les pays industriels et les pays émergents sont les premiers à user et abuser des ressources limitées, mais ce sont surtout les pays en développement à faible revenu et les groupes de population les plus défavorisés qui en subissent les conséquences.
    En mettant l'accent sur la gestion des risques et les responsabilités communes, la DDC renforce les chances de développement des pays pauvres et leur permet de mieux s’adapter aux changements globaux.

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  7. Dialogue politique
    La Suisse s’engage activement dans les processus internationaux et multilatéraux et participe, sous le signe du dialogue, à l’élaboration de conventions, initiatives et processus mondiaux


    Projets globaux
    A défis globaux, réponses globales. Afin de trouver des solutions novatrices à ces défis, la DDC a conçu des programmes globaux. Elle mise aussi sur le réseautage de spécialistes

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  8. Immeuble de l'Ambassade © DFAE
    La section consulaire de l'Ambassade de Suisse à Abidjan agit comme lien entre les ressortissants suisses résidents en Côte d'Ivoire, et leur pays d'origine, la Suisse. Elle s'occupe de l'immatriculation des nouveaux arrivés, de l'établissement et renouvellement de documents d'identité suisses, de l'enregistrement d'événements d'état civil, de légalisations, naturalisations, etc.
    Sachez qu'il existe un club suisse en Côte d'Ivoire, l'Amicale Suisse.
    Si vous avez besoin d'un service autre que ceux mentionnés ci-dessous, n'hésitez pas à nous contacter!
    Dans sa fonction de représentation officielle de la Suisse, l’ambassade exerce un large éventail d’activités couvrant tous les champs thématiques des relations diplomatiques entre les deux gouvernements. Elle représente les intérêts de la Suisse en matière de politique, d’économie, de finances, d’ordre juridique, de science, d’éducation et de culture.

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  9. LEGISLATIVE BRANCH APPROPRIATIONS BILL, 2015




    HIGHLIGHTS OF THE BILL
    The Committee recommends $3,325,891,946 in discretionary resources
    for operations of the Legislative Branch of government (excluding
    Senate items). The fiscal year 2015 recommendation is a
    decrease of $122,514,829 or 3.7% below the requested amount and
    is the same as the fiscal year 2014 level.
    Conforming to longstanding practice under which each body of
    Congress determines its own housekeeping requirements and the
    other concurs without intervention, funds for the Senate are not included
    in the bill as reported to the House. The budget request for
    the Senate for fiscal year 2015 including those under the Architect
    of the Capitol totals $1,016,493,432.
    This bill reflects a continued acknowledgment that the Legislative
    Branch must set itself as an example for fiscal restraint while
    continuing to serve the Nation. This bill will require strict fiscal
    discipline on the part of all congressional offices and all agency
    heads in the Legislative Branch.
    LEGISLATIVE BRANCH-WIDE MATTERS
    Zero Base Budgeting.—The Committee continues to be very
    pleased with the results of the zero-base budgeting exercise directed
    to be conducted by all the agencies of the Legislative

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