Dimanche soir, son entrée dans l’arène du Stade de France, au bout de 23 heures, a battu tous les records de décibels et un peu plus de bercement dans une folle jubilation. Golo Kanté était la véritable star de la célébration des champions du monde après la victoire contre les Pays-Bas (2-1). Avec son corps à la défense, comme toujours. Lorsque rassemblés au pied de la tribune nord, face aux supporters tricolores du kop, ses coéquipiers ont commencé à chanter la chanson à la gloire du milieu des Bleus sur les airs des Champs-Elysées Joe Dassin, le Le joueur de Chelsea a un peu gelé. "Tu n'as pas une autre chanson", dit-il à Benjamin Mendy avec son éternel sourire embarrassé. VIDEO. "Les fans ont rendu cette soirée magnifique" Du Kanté tout craché. N ° 13 aime rien de moins que de passer inaperçu. Non pas sur le terrain où son infatigable massacre en a fait l’une des clés du succès des trois couleurs en Russie, mais pour tout le reste, ou presque. Il fallait le voir attendre un très long taxi, seul au milieu de la rue à la fin de la réception de l’Élysée le 16 juillet, pour mesurer la simplicité qui règne dans tout dans la vie du meilleur joueur du monde.
Dimanche soir, son entrée dans l’arène du Stade de France, au bout de 23 heures, a battu tous les records de décibels et un peu plus de bercement dans une folle jubilation. Golo Kanté était la véritable star de la célébration des champions du monde après la victoire contre les Pays-Bas (2-1). Avec son corps à la défense, comme toujours. Lorsque rassemblés au pied de la tribune nord, face aux supporters tricolores du kop, ses coéquipiers ont commencé à chanter la chanson à la gloire du milieu des Bleus sur les airs des Champs-Elysées Joe Dassin, le Le joueur de Chelsea a un peu gelé. "Tu n'as pas une autre chanson", dit-il à Benjamin Mendy avec son éternel sourire embarrassé. VIDEO. "Les fans ont rendu cette soirée magnifique" Du Kanté tout craché. N ° 13 aime rien de moins que de passer inaperçu. Non pas sur le terrain où son infatigable massacre en a fait l’une des clés du succès des trois couleurs en Russie, mais pour tout le reste, ou presque. Il fallait le voir attendre un très long taxi, seul au milieu de la rue à la fin de la réception de l’Élysée le 16 juillet, pour mesurer la simplicité qui règne dans tout dans la vie du meilleur joueur du monde.
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